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Attendu comme le Messi

Par Simon Capelli-Welter
Attendu comme le Messi

Piqué, Cesc, Adriano et compagnie étaient tout nuls. Et à la merci des Parisiens pendant plus d'une heure. Puis vint le petit lutin.

Valdés (6) : Un vrai bon match. Si Paris n’a pas mené 2-0, ce n’est pas uniquement dû à la maladresse de Lavezzi. Valdés a claqué un bel arrêt sur la tête smashée de Lucas à la demi-heure de jeu, et vient sauver les siens au moment où le Barça avait franchement la tête sous l’eau. Derrière, il enchaîne avec un nouvel arrêt sur celle d’Alex. Ces derniers temps, il faut bien le reconnaître, le portier du Barça a fait taire même les plus sceptiques.

Piqué (4) : Des mauvaises relances et des duels perdus. Des retards, du gras, et la couverture qui va bien pour couvrir les attaquants parisiens du hors-jeu. Un vrai sale match. De Piquénbauer, il est devenu Piquértesacker. Nul. Encore pire que la musique de sa meuf.

Adriano (4) : Préféré à Song en défense centrale, aux côtés de Shakiro. Vu son match, on comprend mieux pourquoi il est remplaçant. Il a apporté plus d’énervement que de sérénité à ses petits amis catalans, avant de sortir pour Baltra. Pour ne pas avoir été choisi à sa place, Song ne doit pas montrer grand-chose de plus que ses tresses à l’entraînement.

Dani Alves (5) : Clairement moins dedans qu’au match aller. La preuve, il ne touche pas le ballon sur la frappe de Pastore. Des contrôles un peu approximatifs, une frappe au-dessus, et aucun swing de l’exter’ cette fois-ci.

Jordi Alba (6,5) : Seul bon Catalan en première avec Iniesta. Jordi a vraiment dégainé un très bon match, en se faisant un malin plaisir de mettre à mal les reins de Jallet, qui a fini complètement cramé. Une sacré salope quand même.

Busquets (5,5) : Une sale perte de balle en début de match qui aurait pu profiter à Lavezzi, s’il n’avait pas décidé, sur son contrôle, d’imiter Cristian Rodríguez. Conservé à son poste de sentinelle, Sergio a d’abord passé une première mi-temps compliquée face aux salves parisiennes. Ensuite, il a rectifié le tir, à coups de grandes anticipations et de petites saloperies.

Xavi (5) : Transparent. Et le Barça a fait l’un de ses moins convaincants matchs de sa saison européenne (avec le match au Celtic et l’aller contre le Milan). Ceci explique cela.

Iniesta (8) : Toujours le geste juste et beau. Finalement, la perfection est peut-être de ce monde. Par contre, elle a vraiment l’air d’une espèce en voie de disparition…

Pedro (6,5) : Auteur du but décisif, l’ailier catalan a fait un match correct, dans son rôle d’ailier pur, donc de caution du 4-3-3 catalan. Après, il n’a pas non plus empêché les siens de se faire un sacré sang d’encre. Même s’ils feront évidemment les malins demain.

Villa (4) : Au moins, il a une meilleure tête avec sa ‘stache, mais il demeure toujours aussi brouillon. Rien que cette frappe complètement déchirée au-dessus est tout de même un peu indigne de « la meilleure équipe de tous les temps de l’histoire de l’univers » . L’attaquant espagnol n’est toujours pas revenu à son meilleur niveau. Il n’est surtout plus très loin de son plus mauvais.

Fàbregas (4) : Titularisé en lieu et place du « meilleur joueur du monde » , Cesc a joué dans un registre différent du petit lutin argentin. Davantage en point de fixation, pivot remiseur, il a cherché avant tout à faire parler sa qualité de passe. Problème, à vouloir trop bien faire, il a cherché la meilleure solution au lieu de prendre la bonne. Sans parler de ses innombrables frappes au-dessus. En un mot : décevant. Voire même inquiétant. Revenir au Barça n’était peut-être pas la meilleure idée de sa vie.

Messi (1000 voire 2000, le meilleur joueur de l’histoire, le vrai sauveur de l’humanité, Messi > Jésus) : À l’heure de jeu, le PSG était qualifié. Puis Cesc a justement laissé sa place à la Pulga. Qui, dès son entrée, a apporté un avantage psychologique évident à une équipe qui était en train de plonger en plein doute. D’ailleurs, le Barça a égalisé à peine dix minutes après son arrivée en jeu. Le meilleure équipe de tous les temps est quand même bien dépendante d’un seul homme. D’un petit homme. En fait, sans Messi, le Barça, c’est Málaga.

Dans cet article :
Ilenikhena, le cauchemar du Barça
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Par Simon Capelli-Welter

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