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31 choses que vous ne savez pas sur Wayne Rooney

Par Mathieu Faure
7 minutes
31 choses que vous ne savez pas sur Wayne Rooney

On sait pas mal de trucs sur l'enfant terrible du football anglais. On aurait pu vous parler de son style de jeu, de son adultère, de son premier but contre Arsenal. Mais le rosbeef a aussi son jardin secret. Des trucs à lui. Des choses ridicules. D'autres pas.

Porte-bonheur : Depuis quelques semaines, Wayne Rooney s’affiche avec un rosaire autour du cou. Une breloque à 10 livres qui ne paye pas de mine. Sauf que Wayne est de confession catholique et son porte-bonheur ressemble étrangement à son tatouage sur son bras gauche. Un homme de foi, en fait.

X-Factor : D’humeur généreuse, Wayne a prêté sa loge à Old Trafford aux jumeaux Jedward. Deux Irlandais à la coupe de cheveux improbable, aperçus, entre autres, lors de l’édition 2009 du télé-crochet X-Factor.

Carnaval : Au dernier opus du carnaval de Rio de Janeiro, un Wayne Rooney géant avait pris part au défilé. Dans un costume rappelant ceux des sumos géants. Assez ressemblant, à vrai dire.

Canasson : Comme son entraîneur Sir Alex Ferguson et Michael Owen, il s’est mis aux courses hippiques. D’ailleurs, il n’a pas hésité à raquer 75 000 euros pour s’acheter son premier trotteur. Son petit nom ? Tomway. C’est mignon. Dernièrement, Wayne Rooney a même déboursé la même somme pour se payer un cheval de course, Switcheroo, comme il l’a appelé, et qui traînait dans l’étable de Michael Owen. Corporate, en plus.

Stereophonics : On le sait, Wayne est fan du groupe de pop. Ils ont même joué quelques tubes à son mariage. Sur son corps de lâche, Wayne s’est fait tatouer « Just enough education to perform ». C’est le titre de son album préféré du groupe.

Chien : Le couple Rooney a investi près de 1 490 euros dans un clébard. Un beau mastiff français. Il a la même gueule que son maître. Il bave.

Cuisine : Il a beau avoir une cuisine de la taille d’un deux pièces, Wayne Rooney ne sait rien faire de ses dix doigts. Ah si, il maîtrise à la perfection la confection des beans et toasts pour le petit-déjeuner.

Amitié : Pas rancunier, le Wayne. Le soir de la branlée contre City en octobre dernier, il passe son after avec son pote Joe Hart, le gardien des Citizens.

Romantique : Pour serrer Coleen, Wayne l’a emmené au cinoche. Le film ? Austin Powers: The Spy Who Shagged Me. Et un pop-corn salé.

Marketing : Sa liquette est la plus vendue au Royaume-Uni. Chaque année, plus d’un million de jerseys « Rooney » s’arrachent dans le monde. C’est le lascar de Premier League le plus rentable en terme de business.

Threesome : Dans sa vie, Shrek a trois amours : Coleen, Everton et le Celtic. Il a d’ailleurs porté un tee-shirt « Once a blue, Always a blue » ( « Bleu un jour, Bleu toujours » ).

Buteur : Quand il était bambin, Wayne évoluait au sein de la Liverpool Schoolboys. En une saison, il claque 72 caramels. Un record qui n’a été battu qu’en 2010 par le petit Gerard, qui en a enfilé 76. Mieux, chez les jeunes d’Everton, il balance 114 buts en 29 matches en 1995/1996. Viens le chercher.

Imitateur : Lors d’une émission télévisée, Wayne doit faire deviner à ses potes Ryan Giggs et Jonny Evans le titre du film Joue la comme Beckham. Et comme Rooney a de l’humour, il imite son entraîneur, Sir Alex Ferguson, en train de shooter une godasse qui arrive dans la gueule du Spice Boy. Moment de gêne sur le plateau. D’autant que Fergie est dans le coin. Ce dernier lui balance un glacial: « Ça va te coûter cher ! » avec son accent d’écossais. Ah, l’humour britannique…

Twitter : Sur le célèbre réseau social, le rouquin s’est fait prendre à partie par un fan des Reds. Le printemps des poètes avant l’heure. « Rooney, tu es une grosse pute, je vais te défoncer avec un club de golf et t’enterrer gros lard ! » – « Tu sais où je m’entraîne tous les jours, tu n’as qu’à venir… Amène ton club fillette, je vais te faire mordre la poussière en moins de dix secondes chrono. Ne dis pas des choses que tu ne feras pas, moi je t’attends ! » – « Je ne suis pas fou, c’était une blague mec ! » . Et Rooney qui conclut : « Des frimeurs qui deviennent fous et qui se calment ensuite… » .

Cadeau : En 2006, Coleen offre à son doudou une putain de caisse : une Aston Martin Vanquish S. Quelques temps plus tard, le Mancunien met en vente son bolide sur la toile. Il affiche à peine 10 000 km au compteur. La bagnole est partie 190 000 € clés en main.

Surnom : Il n’a rien trouvé de mieux que de surnommer son coéquipier Phil Jones, « le bourbier ». C’est affectueux, il paraît.

Numéro : A son arrivée à Manchester, Wayne hérite du 8. Ça fait très Nicky Butt. Une fois Ruud van Nistelrooy lourdé au Real Madrid, Wayne récupère le numéro 10. C’était celui de Denis Law dans les années 60.

Boxe : Le petit roux aurait pu être boxeur. C’est son premier amour. Son idole ? Mike Tyson. Évidemment.

RSA : Jusqu’à son dix-septième anniversaire, Rooney tournait au salaire minimum à Everton. Il gagnait 119 euros par semaine.

ISF : Chaque jour, le banquier de l’Anglais doit savourer. Le cash rentre. Et pas qu’un peu. Avec ses différents contrats publicitaires (Nike, Nokia, Ford, Asda et Coca Cola), sa valeur financière est estimée à plus de 54 millions d’euros.

Coca-Cola : Shrek a vu sa ganache figurer sur plus de 500 millions de canettes de la célèbre marque de boisson gazeuse.

Culture : Le petit Anglais a des goûts classiques. En zik, il est fan de Stereophonics donc, mais également de 50 cent et Eminem. Son film préféré est Grease. Niveau série, Wazza se casse les zygomatiques sur Only Fools and Horses. Enfin, il a lu toute la saga Harry Potter. C’est son péché mignon.

Cartoon : Le quotidien Daily Miror met en page un cartoon avec un jeune personnage anti-social appelé Wayne Sutton. On y retrouve, volontairement, quelques singeries du joueur.

Cancre : Wayne n’est pas bête, il n’aime pas l’école. C’est différent. D’ailleurs, il n’a pas validé son General Certificate of Secondary Education (GCSE, que l’on peut traduire en français par « Certificat général de l’enseignement secondaire » ). C’est l’équivalent du Brevet des collèges. Oui, c’est pour les mômes de 14/15 piges.

Caméra cachée : Wayne Rooney a été Merk’d (l’équivalent de l’émission Punk’d sur MTV avec Ashton Kutcher) par son coéquipier de MU et d’équipe d’Angleterre Rio Ferdinand au cours de mini-séries TV tournées avant la coupe du Monde 2006, appelées « World Cup wind ups ».

Chauve : A 25 ans, la calvitie était sa meilleure amie. L’été dernier, il passe à la Harley Street Hair Clinic pour se faire poser des implants capillaires. Il est tellement fier qu’il balance sur Twitter sa nouvelle coiffure à la sortie de l’établissement.

Famille : Son jeune frangin, John, joue au football en MLS. Avant de partir pour Orlando, il évoluait aux Red Bulls de New York. L’été dernier, les deux brothers se sont affrontés lors de la tournée américaine de MU.

Blague : A Birmingham, on aime bien se foutre de la gueule du joueur. Dans le canard du coin, les journalistes ont consacré une page entière à des blagues sur le numéro 10 mancunien. On peut y trouve des classiques comme « Wayne et Alex Fergusson on changé leur statuts FB de « en couple » à « c’est compliqué » ou des « Wayne pourrait facilement aller à la Juventus, il ne saurait pas repousser les approches d’une Vieille Dame« . Drôle.

Boulet : Chaque année un quiz est organisé par les joueurs et le staff de MU avec des questions sur l’histoire du club, et deux équipes s’affrontent. A ce jeu, les deux cracks sont le médecin et un assistant de Fergie que Giggs tente systématiquement d’avoir dans son équipe. A l’opposé, Rooney c’est un peu le maillon faible. Il ne connait rien à United. Une ignorance sur le passé du club qui a bien fait marrer Ferguson quand il a appris que Rooney avait été recruté dans l’une des équipes. Pour le coup, Sir Alex a lâché une phrase choc: « Sans déconner, on veut de la compétition ! C’est quoi ça? »

Fête des mères : Cette année pour la fête des mères, Wayne a accompagné sa femme et son fils de 2 ans, Kai, pour trouver des cadeaux. Ils sont allés dans un magasin spécialisé pour peindre des mugs géants, des tasses etc, afin de l’offrir à Coleen et les grands parents du petit. Il n’était pas prévu que Wayne vienne et ça a créé un sacré bordel dans le quartier à tel point que les curieux passaient et repassaient pour vérifier si c’était bien lui. Un artiste. Un vrai.

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Par Mathieu Faure

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